Les techniques employées pour guérir ou prévenir une affection n’ont cessé d’évoluer. Cela a conduit les gens à confondre la médecine douce et traditionnelle. La première se base sur le traitement des maladies par la thérapie. Par contre, la seconde concerne le recours à des médicaments à base de plante ou de matière animale pour soigner les patients.
Tout sur la médecine traditionnelle
Cette pratique repose sur les croyances anciennes. C’est pourquoi les méthodes appliquées sont différentes dans tous les pays du globe. Chaque civilisation dispose de sa propre médecine traditionnelle. Le soulagement des maladies par les anciens se faisait par l’intermédiaire des plantes locales. D’ailleurs, ils n’avaient pas les mêmes compétences. Certaines populations ont été plus avancées que d’autres dans ce domaine.
Cette discipline souvent marginalisée est le fondement de la médecine moderne. Les scientifiques étudient des remèdes d’antan pour créer des formules médicamenteuses. Ils ont tendance à rechercher les vertus d'une espèce végétale avant d’extraire la molécule responsable des effets bénéfiques. Ces derniers temps, les médecins sollicitent la médecine traditionnelle en complément de la conventionnelle.
Par l’utilisation de moyens naturels, celle-ci peut mieux traiter certaines pathologies que les médicaments ne peuvent stopper comme le paludisme ou la fièvre. Les plantes médicinales sont très utilisées dans certaines zones d’Afrique. Elles servent aussi à apaiser les douleurs. La médecine alternative emploie des savoirs ancestraux afin d’accélérer la guérison de certaines maladies.
Ce qui distingue la médecine douce
Contrairement à la médecine traditionnelle, la médecine douce règle les problèmes de santé par le recours à des procédés thérapeutiques comme l’homéopathie, l’hypnothérapie et tant d’autres. Un praticien, à l’exemple de Ma Medecine, conseille souvent la sophrologie. Il s’agit d’une technique de relaxation similaire à l’hypnose. Le sophrologue guide la psyché de l’individu pour qu’il se concentre à un état spécifique. Le patient peut alors contrôler la douleur ou réduire son alimentation. Si le malade décide de tester l’hypnose, le médecin va le mettre en état de veille et de sommeil. Ce procédé aide dans le soin des maladies psychosomatiques.